Bepannah....

Première série indienne pour ma part et un vrai coup de cœur pendant les 40-50 premiers épisodes (il y en a plus de 100...).

Je l'ai visionné jusqu'au bout mais en poussant la majorité des scènes, il y avait trop de drames pour moi. Mais, ça n'en reste pas moins un coup de cœur !

Commençons par le commencement. Aditya et Zoya se rencontrent un jour en choisissant un cadeau. Ils sont tous les deux fous amoureux de leurs conjoints...

A la fin de cette journée pleine de surprises et de ce jeu pour avoir ce cadeau, chacun reçoit un coup de fil tragique : un accident est survenu...

Et là... Ils se retrouvent face à face sur les lieux de l'accident, venu chacun reconnaître leur amour décédé... la main dans la main !

Je vous laisse imaginer les réactions car chacun pensait vivre un conte de fées et un mariage idyllique.

Rien que ça aurait pu être un frein au visionnage, mais l'alchimie m'a fait chavirer : elle crevait l'écran ! 

J'ai donc continué, nous passons par des hauts et des bas et des retournements de situations à proprement dit incroyable, mais je pense, que le système est un peu comme les dizis turques : tant qu'il y a de l'audience, il y a tournage !

Ce qui explique bien des choses.

Ces deux âmes sœurs vont devoir aller à contre-courant et cela ne se fera pas sans difficultés, ne serait-ce que pour le fait que leurs conjoints étaient amants!

Je conseille tout de même ce visionnage pour tous ceux aimant les séries dramatiques avec une forte attraction, en fait, on sent le magnétisme des personnages ... alors qu'il n'y a pas un seul baiser !!! Ma plus grande déception d'ailleurs, car même sans cela, j'avais des papillons dans le ventre sous les regards profonds et sombres qu'ils se jetaient tous les deux.

Pour ne pas se lasser, le mieux est de regarder un épisode par jour, cela permet d'attendre le suivant avec impatience.

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La fin est heureuse mais bien trop rapide, sûrement dû au fait que nous avions déjà eu des moments de complicité et d'amour. Elle m'a toutefois laissé sur ma faim, car j'aurais aimé les voir dans un contexte sans drames, uniquement du bonheur, et pourquoi pas, avec une jolie petite famille à eux.

Je vous laisse avec la chanson titre, tellement triste mais tellement belle.

Un destin qui ne peut être évité ! 

PS : j'ai envie de le traduire uniquement pour la musicalité de la langue et la voix basse et sensuelle de Harshad Chopda...